PMU : 15 ans de croissance pour les paris hippiques

Le 13/01/2013 | Réagissez à cet article
Alors que le terme « Crise » est repris par toute la presse de façon quotidienne, il semblerait que les secteurs des jeux en ligne ne le connaissent pas. En effet, après la FDJ, c’est au tour du PMU de divulguer ses excellents résultats de l’année 2012.
Une année 2012 supérieure aux objectifs fixés
Les entreprises ferment, le moral des ménages vacille, mais ces derniers ont opté pour les jeux d’argent afin de le retrouver. En effet, suite à l’excellent chiffre d’affaires de la Française des Jeux, le PMU vient d’annoncer les résultats du dernier exercice. De nombreux records ont été battus, tout simplement. Le chiffre d’affaires général est en hausse de 2,5%, ce qui permet de se rapprocher de la barre des 10,5 milliards d’euros de recettes.
En parallèle, les gains des joueurs ont également connu une hausse significative de 2,9%, (7,97 milliards d’euros, taux de retour de 76%) au final tout le monde est gagnant chez le PMU. Bien sûr, les paris hippiques constituent la grande partie des recettes enregistrée par cet opérateur qui bénéficie d’une excellente image au sein de l’hexagone.
Un nouvelle hausse en 2012
Certains chiffres parlent d’eux-mêmes, puisque cette nouvelle hausse en 2012 concernant les paris hippiques est la quinzième de rang, un exploit à l’heure où la morosité économique est omniprésente. Ce succès a été rendu possible grâce au lancement de 2 nouveaux jeux au cours de l’année, à savoir le Pick5 et le Mini Multi.
Egalement, le PMU poursuit son quadrillage de l’hexagone puisque 3 points de vente ont ouvert chaque jour lors de l’année 2012, de quoi toucher encore plus de parieurs hippiques. Il y a 11 800 points de vente estampillés PMU à ce jour en France.
Enfin, le PMU a su s’internationaliser grâce à la conclusion de nombreux partenariats, notamment en Belgique (Ladbrokes ou encore WFA pour ne citer qu’eux) et en Allemagne, ce qui explique l’explosion du nombre de paris émis hors de nos frontières (+86,8%).
Le PMU va-t-il encore faire mieux en 2013 ?