Donald Trump et le poker en ligne

Donald Trump et le poker en ligne

Le 08/08/2015

Les primaires américaines agitent le quotidien politique des Etats-Unis, mais aussi dans le monde entier. Les 17 candidats du partie républicain sont prêts à tout pour être l’élu. A ce jour, le « chipleader » est le contesté Donald Trump qui est un amoureux du poker.

Une prise de position claire pour le poker en ligne

Les républicains américains pourraient se résumer à certaines de leurs positions concernant les armes à feu ou encore la liberté dans tous ses états. Aussi, les républicains sont, de nature et malgré la réputation de ce jeu de cartes, plus favorables à la légalisation du poker en ligne dans tous les Etats, au contraire des démocrates qui souhaitent cadrer ce loisir à la « française ». 

 

Dans ce contexte, Donald Trump, qui est à ce jour le favori pour faire la course à la Maison-Blanche, a clairement indiqué être pour une réelle législation  des jeux d’argent en ligne, et ce, dans tout le pays. Donald Trump a su faire parler de lui ces dernières semaines notamment suite à des propos ethniques plutôt tendancieux. A ce titre, les médias lui apportent à présent une oreille attentive, ce qui est particulièrement intéressant concernant le poker en ligne.

 

Un influenceur des hautes sphères

Pour ceux qui ne connaissent pas encore le phénomène Donald Trump, il est important d’indiquer qu’il est très riche, et donc, qu’il a beaucoup de pouvoir au pays des rodéos et des burgers. C’est pour cette raison que le débat sur les jeux d’argent en ligne pourrait être enfin relancé et mis au premier plan. 

 

Au sujet des jeux d’argent en ligne, Donald Trump avait indiqué il y a quelques années que les Etats-Unis avait raté le train alors que d’autres pays avaient su saisir cette opportunité (liberté de jeu et recettes financières juteuses). Il a d’ailleurs déjà imaginé un système de licence par Etat qui serait géré par une entreprise privée (peut-être la sienne…). Ce mode opératoire illégal en France serait tout à fait possible chez l’Oncle Sam.

 

Entre des démocrates très puritains et Donald Trump, certains sujets pourraient être une clé pour s’asseoir dans le bureau oval.