Le "poker management", c'est quoi ?
Le 10/05/2016
Le poker est entrain, malgré une attractive en pente douce sur les sites de poker en ligne, de prendre un nouveau virage. En effet, le lien entre notre jeu de cartes préféré et amélioration des compétences professionnelles existe, et, des coachs pourraient venir en aide aux entreprises en se basant sur le poker.
Le Poker Management, Kezako ?
Le monde des entreprises est friand d’incentives et autres team building. Des millions d’euros sont dépensés chaque année pour permettre aux salariés d’améliorer leur productivité et de développer un état d’esprit fédérateur. De facto, les responsables des ressources humaines n’hésitent pas à dépenser des sommes importantes pour « créer du lien » entre les employés d’une même entreprise.
Il existe une grande variété de « stages » allant d’une partie de paintball à une chasse au trésor en pleine forêt. Récemment, un nouveau type d’incentive s’est développé, il s’agit du Poker Management.
Celui-ci n’est en rien une conférence sur le poker, car tout est basé sur la pratique. En effet, 8 personnes se postent autour d’une table et celles-ci sont coachées par des professionnels du poker. Chaque main et chaque partie sont des cas pratiques qui permettent aux salariés d’améliorer de nombreuses compétences dont sa réactivité, sa capacité à prendre des décisions ou encore son sens de la stratégie.
Les bienfaits du Poker Management
Le Poker Management peut paraitre, en premier lieu, assez loufoque, mais ce processus permet aux salariés de dépasser leurs peurs (de se tromper, de ne pas aller assez vite, etc..).
Clairement, les mentors de cette nouvelle façon de manager estiment que chaque main est comme chaque action au sein d’une entreprise, c’est à dire qu’elle nécessite une remise en question perpétuelle.
Aucune main ne se ressemble au même titre qu’aucun décision à prendre car les paramètres à prendre en compte change continuellement (selon le client, selon le fournisseur, selon la conjoncture, etc…).
Enfin, identifier ses carences et les faire disparaitre à un coût, à savoir 650 euros par personne.