Poker : les Losers et les Winners de 2014

Poker : les Losers et les Winners de 2014

Le 13/01/2015

L’année 2014 a été riche en événements au niveau du poker. Lors des 12 derniers mois, certains ont décroché les étoiles alors que d’autres ont creusé leur tombe. Voici ce qu’il faut retenir concernant les losers et les winners de l’année 2014.

2014, une belle année pour les joueurs de poker

Parmi les faits marquants de l’exercice 2014, il est important de noter que 2 joueurs de légende (Gus Hansen et Viktor Blom) ont perdu leur contrat publicitaire. Concernant Viktor Blom, il a pourtant joué son année à l’efficacité en cumulant 2 millions de dollars de gains en l’espace de 3 semaines. Après ces 21 jours fous, il a décidé de tout jouer ou presque.

En effet, il a joué plus de 300 000 mains, ce qui lui a permis de vivre une année très hétérogène concernant ses gains. Au final, il termine l’année à – 1,5 million de dollars (il a donc perdu 3,5 millions lors des 49 semaines suivantes…).Dans le même esprit, Gus Hansen a joué plus de 200 000 mains pour une année où la réussite n’a cessé de le fuir.

Un Chinois explose les records…de perte

Également, Chun Lei Zhou aurait dû arrêter les dégâts plus tôt dans l’année. Le joueur chinois a terminé l’année avec une balance négative de 6 millions de dollars, un record en 2014. Il semblerait qu’il soit à présent dans un stage de développement personnel (sic).

Cates et Kostritsyn au top

A contrario, d’autres joueurs ont su gérer leurs gains au fil de l’année. C’est notamment le cas de Cates et Kostritsyn. En effet, Kostritsyn a obtenu une balance annuelle de 3,4 millions de dollars. De même, Cates a terminé l’année 2014 avec un bonus de 3,2 millions de dollars. Nul ne doute que ces 2 joueurs ont dû piquer quelques dollars au joueur chinois cité plus haut.

Notons aussi l’excellente année de Patrick Antonius (+1,7 million de dollars) et de Mikael Turitz (+2,5 millions de dollars). La saison 2015 est ouverte depuis quelques jours et devrait livrer ses secrets lors des 50 semaines à venir.