Les paris sportifs vont toujours bien

Les paris sportifs vont toujours bien

Le 09/03/2014

Le secteur des paris sportifs ne connait pas la crise, bien au contraire. Toute l’économie qui gravite autour des sports sur lesquels il est possible de parier s’en trouve dynamisée. Les fonds pariés chaque année progressent, un réel plus dont il ne faut pas se passer.

790 millions d’euros par an au Royaume-Uni

Le royaume d’Albion est l’endroit où les parieurs sportifs sont les plus nombreux. Il n’est donc pas étonnant que les paris sportifs représentent plus de 7,5 milliards de livres sterling par an, dont 790 millions d’euros uniquement en ligne. Notons que les grands opérateurs de paris sportifs en ligne comme Bwin nouent des contrats colossaux (sponsoring sur les maillots notamment) avec les plus grands clubs européens (Real de Madrid, Bayern de Munich, Manchester United, etc…).

Dans le monde, l’enveloppe dédiée par les opérateurs au sponsoring est estimée à 400 millions d’euros. En Europe, 250 de ces 400 millions d’euros sont investis dans les plus grands championnats du vieux continent.

Le sponsoring est de 30 millions d’euros en France

Au sein de l’hexagone, cette enveloppe est de 30 millions d’euros contre 25 millions d’euros en Allemagne et 15 millions d’euros en Espagne. Le grand vainqueur continental n’est autre que le Royaume-Uni où cette somme dépasse les 60 millions d’euros par an. Autre particularité, ce sont les parieurs misant sur la Formule 1 et le cyclisme qui sont les plus importants sur le marché. Leur mise moyenne est supérieure aux parieurs footballistiques.

3 millions d’euros de paris lors de PSG-OM

Le Clasico de dimanche dernier a généré un total de mise de 3 millions d’euros. En un seul match, ce total a fait jeu égal avec tous les paris réalisés lors des Jeux Olympiques d’hiver de Sotchi. Au match Aller qui s’est déroulé au stade Vélodrome de Marseille, le total des mises avait été de 1,4 million d’euros. Pour rappel, plus de 1,65 milliard d’euros ont été misés sur des disciplines sportives (+14% versus 2012). Le football représente plus de 50% des mises.