Bientôt de nouvelles variantes du poker en ligne autorisées ?

Bientôt de nouvelles variantes du poker en ligne autorisées ?

Le 05/02/2012

Il y a quelques semaines, le 19 janvier plus précisément, Jean-François Villote, le président de l’Autorité de Régulation des Jeux en Ligne (ARJEL) a présenté ses vœux. A cette occasion un bilan s’est imposé et avec lui de nouvelles mesures.

Le discours du président

Voici ce que disait Jean-François Villote : « Le groupe de travail a examiné une trentaine de variantes pratiquées à travers le monde et entend proposer l'ajout de 3 ou 4 variantes supplémentaires comme le stud ou le omaha high/low, et la possibilité de mixer les variantes au cours d'une même partie. Le Collège aura à se prononcer prochainement sur ce sujet et veillera à ne proposer que des variantes ne présentant pas de risques accrus d’addiction, de triche ou de blanchiment ».

De nouvelles variantes de jeux

Le président de l’ARJEL a donc fait un discours dans lequel il dresse un bilan de l’année 2011 et plus particulièrement l’évolution du marché des jeux en ligne. Jean-François Villote en a donc tiré des conclusions pour lancer de nouvelles variantes de poker pour l’année 2012. Cela consisterait en un élargissement de l’offre dans le poker en ligne pour les opérateurs agréés. Ces variantes supplémentaires seraient le Seven Card, Le stud High Low, L’Omha High Low ou simplement le Stud. Pour le moment le Razz, le Deuce to Seven et le HORSE ne sont pas proposés dans ces variantes.

Augmentation des limites de jeu

Jean-François Villote a également mentionné une augmentation des limites de jeux en cash game. Une décision pas encore validée pour le moment mais qui pourrait augmenter les limites qui sont pour le moment de 5 à 10 € et de 10 à 20 €.

Les autres sujets abordés

Mais le président ne s’est pas étendu sur des mesures d’actualités comme une possible réforme de la fiscalité qui viserait à instaurer une taxe sur les jeux en ligne ; une taxe donc sur le produit brut des jeux et plus sur les mises de ces jeux. Une réforme qui ne faisait d’ailleurs pas l’unanimité lorsqu’elle a été annoncée en 2011.