Patrick Bruel, 24ème Français en termes de gains au poker

Patrick Bruel, 24ème Français en termes de gains au poker

Le 02/12/2011

Ils sont à l'heure actuelle cinquante Français à avoir dépassé la barre des 400.000 euros de gains en tournoi de poker durant leur carrière. Le chanteur et acteur Patrick Bruel se place à la 24ème position.

ElkY, Antoine Arnault et d'autres stars

Parmi les 50 joueurs français à avoir dépassé les 400.000 euros de gains, on constate plusieurs catégories de joueurs. La plus représentée est évidement celle des joueurs professionnels avec « ElkY » (Bertrand Grospellier) en tête de liste qui est le joueur tricolore ayant accumulé le plus de gains en tournoi avec 6,454 millions d'euros sur les tables de poker mondiales, avec notamment un bracelet WSOP en 2011, une victoire au World Poker Tour en 2008 et à l'European Poker Tour en 2011. C'est le quatrième joueur au monde à avoir réalisé ce triplé historique.

On peut également voir sur ces 50 joueurs français le fils du milliardaire Bernard Arnault, Antoine Arnault du site Bwin Poker, qui se classe 41ème avec 481.000 euros de gains.

Patrick Bruel à la 24ème place

A la 24ème place et 750.000 euros de gains en tournois, on trouve le célèbre chanteur Patrick Bruel (photo) qui a remporté un bracelet WSOP et atteint la table finale d'un l'European Poker Tour en 2007. Patrick Bruel fait l'actualité en ce moment avec la sortie de son livre écrit avec Claude Askolovitch appelé « Conversation ». Il fait donc l'actualité et même le buzz sur le plateau du Grand Journal de Michel Denisot sur Canl+ puisqu’il a présenté son livre et a chanté avec le rappeur Mister You son célèbre tube « j'te le dis quand même… je t'aime ». Un bon moment de télévision !

Ces joueurs bientôt taxés ?

Tous seront sûrement bientôt taxés s'ils n'ont pas mis un terme à leur carrière et progressent encore au niveau de leurs gains dans ce classement. Même si l’amendement d’Aurélie Filippetti concernant un impôt dès 5.000 de gains annuels a été rejet, le gouvernement reste soucieux de réaliser des économies et de nouvelles rentrées d'argent pour combler la dette française.